Commission de gestion du Pouvoir judiciaire

M. Olivier Jornot est titulaire d’un Master en lettres et d’un Master en droit, tous deux décernés par l’Université de Genève. Il a ensuite obtenu son brevet d’avocatProfessionnel·le du droit qui exerce une profession libérale. Elle ou il informe et conseille ses client·e·s au sujet de leurs droits et obligations, des démarches et des procédures; elle ou il les assiste, les représente et défend leurs intérêts devant la justice. Son activité est rémunérée par des honoraires. L'assistance ou la représentation par un·e avocat·e est obligatoire ou facultative selon la nature de l'affaire et les juridictions compétentes. L'avocat·e est inscrit·e au barreau. En matière pénale, à Genève, l’avocat·e de la première heure intervient dès l'interpellation de la ou du prévenu∙e par la police., en 1996, profession qu’il a exercée auprès de diverses Etudes de la place genevoise entre 1997 et 2012. Il s’est également investi politiquement, dès 1995, en parallèle à son activité professionnelle, d'abord comme conseiller municipal de la commune de Veyrier puis comme député au Grand Conseil dès 2005. Élu au poste de procureurMagistrat∙e du Ministère public qui, dans les affaires pénales, mène l’enquête préliminaire (phase d’instruction) et soutient l’accusation (phase de jugement). La ou le procureur∙e général∙e, secondé∙e par 5 premier∙ère∙s procureur∙e∙s, dirige le Ministère public. Par ailleurs, la ou le procureur∙e général∙e assume des tâches institutionnelles telles que la présidence de la commission de gestion du Pouvoir judiciaire. général en décembre 2011 et réélu à cette fonction en 2014 et en 2020, M. Olivier Jornot dirige le Ministère public depuis avril 2012, juridictionAutorité qui juge. Tribunal, cour ou commission de recours. comprenant aujourd’hui 43 procureurMagistrat∙e du Ministère public qui, dans les affaires pénales, mène l’enquête préliminaire (phase d’instruction) et soutient l’accusation (phase de jugement). La ou le procureur∙e général∙e, secondé∙e par 5 premier∙ère∙s procureur∙e∙s, dirige le Ministère public. Par ailleurs, la ou le procureur∙e général∙e assume des tâches institutionnelles telles que la présidence de la commission de gestion du Pouvoir judiciaire.·e·s et premier·ère·s procureurMagistrat∙e du Ministère public qui, dans les affaires pénales, mène l’enquête préliminaire (phase d’instruction) et soutient l’accusation (phase de jugement). La ou le procureur∙e général∙e, secondé∙e par 5 premier∙ère∙s procureur∙e∙s, dirige le Ministère public. Par ailleurs, la ou le procureur∙e général∙e assume des tâches institutionnelles telles que la présidence de la commission de gestion du Pouvoir judiciaire.·e·s. Il préside depuis lors la Commission de gestion du Pouvoir judiciaire. Il est également membre de droit du Conseil supérieur de la magistratureLe conseil supérieur de la magistrature veille au bon fonctionnement des tribunaux et, notamment, à ce que les magistrat·e·s, soumis·e·s à sa surveillance, exercent leur charge avec dignité, rigueur, assiduité, diligence et humanité. A Genève, le conseil est composé du Procureur général, de la ou du président·e de la Cour de justice, de 4 magistrat·e·s de carrière ou ancien·ne·s magistrat·e·s de carrière du Pouvoir judiciaire, de 3 membres désignés par le Conseil d’Etat en fonction de leurs qualités personnelles et de 2 avocat·e·s au barreau. Le conseil peut exercer une activité disciplinaire à l’encontre des magistrat·e·s du Pouvoir judiciaire. et de la Conférence des président·e·s de juridiction.

Mme Sophie Cornioley Berger est titulaire d'un Master en droit de l'Université de Genève, d'un brevet d'avocatProfessionnel·le du droit qui exerce une profession libérale. Elle ou il informe et conseille ses client·e·s au sujet de leurs droits et obligations, des démarches et des procédures; elle ou il les assiste, les représente et défend leurs intérêts devant la justice. Son activité est rémunérée par des honoraires. L'assistance ou la représentation par un·e avocat·e est obligatoire ou facultative selon la nature de l'affaire et les juridictions compétentes. L'avocat·e est inscrit·e au barreau. En matière pénale, à Genève, l’avocat·e de la première heure intervient dès l'interpellation de la ou du prévenu∙e par la police. et d'un diplôme post-grade (LL.M.) en droit européen de l'Université de Lausanne; elle a été avocateProfessionnel·le du droit qui exerce une profession libérale. Elle ou il informe et conseille ses client·e·s au sujet de leurs droits et obligations, des démarches et des procédures; elle ou il les assiste, les représente et défend leurs intérêts devant la justice. Son activité est rémunérée par des honoraires. L'assistance ou la représentation par un·e avocat·e est obligatoire ou facultative selon la nature de l'affaire et les juridictions compétentes. L'avocat·e est inscrit·e au barreau. En matière pénale, à Genève, l’avocat·e de la première heure intervient dès l'interpellation de la ou du prévenu∙e par la police. au barreau de Genève à partir de janvier 1996. En septembre 1993, elle a rejoint le Pouvoir judiciaire en qualité de greffière-juristePersonne qui assiste la ou le juge dans ses activités juridiques et judiciaires. Elle rédige notamment des projets de jugements et effectue des recherches juridiques. vacataire auprès de la juridiction des prud'hommes, activité qu'elle a déployée jusqu'en 2000, avant de devenir conciliatrice au sein de la même juridiction. Parallèlement à son métier d'avocateProfessionnel·le du droit qui exerce une profession libérale. Elle ou il informe et conseille ses client·e·s au sujet de leurs droits et obligations, des démarches et des procédures; elle ou il les assiste, les représente et défend leurs intérêts devant la justice. Son activité est rémunérée par des honoraires. L'assistance ou la représentation par un·e avocat·e est obligatoire ou facultative selon la nature de l'affaire et les juridictions compétentes. L'avocat·e est inscrit·e au barreau. En matière pénale, à Genève, l’avocat·e de la première heure intervient dès l'interpellation de la ou du prévenu∙e par la police., Mme Cornioley Berger a occupé la fonction d'assistante au département de droit du travail et de la sécurité sociale de l'Université de Genève. Conseillère juridique des HUG de 2002 à 2008, elle a été élue jugeMagistrat∙e du Pouvoir judiciaire, professionnel∙le ou non, chargé∙e de rendre la justice en appliquant les lois. au Tribunal administratif de première instance le 1er janvier 2009. Elle a présidé cette juridiction du 1er avril 2015 au 31 mai 2020. Mme Sophie Cornioley Berger préside le comité d'audit interne depuis le 1er juin 2019.

Mme Milena Guglielmetti est titulaire d'une Licence en droit de l'Université de Genève, du brevet d'avocatProfessionnel·le du droit qui exerce une profession libérale. Elle ou il informe et conseille ses client·e·s au sujet de leurs droits et obligations, des démarches et des procédures; elle ou il les assiste, les représente et défend leurs intérêts devant la justice. Son activité est rémunérée par des honoraires. L'assistance ou la représentation par un·e avocat·e est obligatoire ou facultative selon la nature de l'affaire et les juridictions compétentes. L'avocat·e est inscrit·e au barreau. En matière pénale, à Genève, l’avocat·e de la première heure intervient dès l'interpellation de la ou du prévenu∙e par la police., ainsi que du certificat d'études approfondies en magistrature de l'Université de Neuchâtel. Après avoir exercé comme avocateProfessionnel·le du droit qui exerce une profession libérale. Elle ou il informe et conseille ses client·e·s au sujet de leurs droits et obligations, des démarches et des procédures; elle ou il les assiste, les représente et défend leurs intérêts devant la justice. Son activité est rémunérée par des honoraires. L'assistance ou la représentation par un·e avocat·e est obligatoire ou facultative selon la nature de l'affaire et les juridictions compétentes. L'avocat·e est inscrit·e au barreau. En matière pénale, à Genève, l’avocat·e de la première heure intervient dès l'interpellation de la ou du prévenu∙e par la police., elle rejoint le parlement cantonal en tant qu'adjointe du sautier de la République et canton de Genève. En 2004, elle intègre le Parquet du procureurMagistrat∙e du Ministère public qui, dans les affaires pénales, mène l’enquête préliminaire (phase d’instruction) et soutient l’accusation (phase de jugement). La ou le procureur∙e général∙e, secondé∙e par 5 premier∙ère∙s procureur∙e∙s, dirige le Ministère public. Par ailleurs, la ou le procureur∙e général∙e assume des tâches institutionnelles telles que la présidence de la commission de gestion du Pouvoir judiciaire. général en qualité de substitute. Elle est élue jugeMagistrat∙e du Pouvoir judiciaire, professionnel∙le ou non, chargé∙e de rendre la justice en appliquant les lois. au Tribunal civil en 2007, juridiction dans laquelle elle siège encore aujourd'hui.

Mme Milena Guglielmetti siège à la Commission de gestion depuis le 1er janvier 2021.

M. Endri Gega a obtenu un master en droitEnsemble des règles de conduite qui gouvernent les rapports entre les êtres-humains et dont le respect est assuré par l’autorité publique (droit objectif). Désigne également les prérogatives attribuées à un individu (droit subjectif). à l'Université de Genève. Il a poursuivi sa formation en tant qu'avocat-stagiaire au département des finances de la Ville de Genève ainsi qu'auprès d'une étude d'avocatsProfessionnel·le du droit qui exerce une profession libérale. Elle ou il informe et conseille ses client·e·s au sujet de leurs droits et obligations, des démarches et des procédures; elle ou il les assiste, les représente et défend leurs intérêts devant la justice. Son activité est rémunérée par des honoraires. L'assistance ou la représentation par un·e avocat·e est obligatoire ou facultative selon la nature de l'affaire et les juridictions compétentes. L'avocat·e est inscrit·e au barreau. En matière pénale, à Genève, l’avocat·e de la première heure intervient dès l'interpellation de la ou du prévenu∙e par la police. de la place genevoise. Il a obtenu son brevet d'avocat dans cette même ville. M. Endri Gega a travaillé plusieurs années en tant que greffier-juristePersonne qui assiste la ou le juge dans ses activités juridiques et judiciaires. Elle rédige notamment des projets de jugements et effectue des recherches juridiques. vacataire de la juridictionAutorité qui juge. Tribunal, cour ou commission de recours. des prud'hommes. Il a poursuivi sa carrière auprès d'une banque privée genevoise avant d'exercer en qualité d'associé dans une étude d'avocats, jusqu'à son entrée dans la magistrature.

Le 1er juillet 2013, M. Gega rejoint le Ministère publicAutorité qui instruit les infractions pénales et les poursuit et qui représente les intérêts de la société devant les juridictions de jugement en exerçant l'action publique. en tant que procureurMagistrat∙e du Ministère public qui, dans les affaires pénales, mène l’enquête préliminaire (phase d’instruction) et soutient l’accusation (phase de jugement). La ou le procureur∙e général∙e, secondé∙e par 5 premier∙ère∙s procureur∙e∙s, dirige le Ministère public. Par ailleurs, la ou le procureur∙e général∙e assume des tâches institutionnelles telles que la présidence de la commission de gestion du Pouvoir judiciaire., avant d'occuper en juin 2022 le poste de jugeMagistrat∙e du Pouvoir judiciaire, professionnel∙le ou non, chargé∙e de rendre la justice en appliquant les lois. à demi-charge au TribunalOrgane institué pour trancher les litiges. administratif de première instanceProcédure de première instance: procédure qui s’est déroulée avant la phase d'appel, devant la première autorité saisie. Parfois, l’instance peut aussi désigner le tribunal lui-même (par exemple, l’instance supérieure).. Depuis le 1er avril 2023, il est jugeMagistrat∙e du Pouvoir judiciaire, professionnel∙le ou non, chargé∙e de rendre la justice en appliquant les lois. au TribunalOrgane institué pour trancher les litiges. pénal.

Mme Lucile Baudier est titulaire d’une licence en archéologie de l’Université Paris I-Panthéon Sorbonne. Elle choisit ensuite de compléter sa formation dans le domaine juridique auprès de l’Ecole Nationale de DroitEnsemble des règles de conduite qui gouvernent les rapports entre les êtres-humains et dont le respect est assuré par l’autorité publique (droit objectif). Désigne également les prérogatives attribuées à un individu (droit subjectif). et Procédure dont elle est diplômée en 2011. Elle débute sa carrière comme assistante juridique, puis juriste junior dans un cabinet parisien spécialisé dans le contentieuxLitige qui peut être mis en discussion devant la justice. Désigne l’ensemble des litiges relevant d’une juridiction. inter-entreprises. En 2012, elle rejoint une étude genevoise en tant qu’assistante juridique, avant d'entrer au Pouvoir judiciaireLe Pouvoir judiciaire est l’un des trois pouvoirs de l’Etat. Séparé des pouvoirs législatif (Grand Conseil) et exécutif (Conseil d'Etat), il remplit sa mission en toute indépendance, réunissant toutes les instances chargées de rendre la justice à Genève. le 1er novembre 2013. Elle est engagée en tant que greffièreCollaboratrice ou collaborateur du greffe chargé·e d'assister les magistrat·e·s dans leur mission. Elle ou il dresse et authentifie les actes de la procédure tout au long de son déroulement. Elle ou il enregistre les affaires, prévient les parties des dates d’audience et de clôture, dresse les procès-verbaux, rédige des actes, met en forme les décisions et assiste la ou le juge lors des audiences. au sein du Ministère publicAutorité qui instruit les infractions pénales et les poursuit et qui représente les intérêts de la société devant les juridictions de jugement en exerçant l'action publique., poste qu’elle occupe depuis lors.

Elle est également membre de l’Association des fonctionnaires et employés du Pouvoir judiciaireLe Pouvoir judiciaire est l’un des trois pouvoirs de l’Etat. Séparé des pouvoirs législatif (Grand Conseil) et exécutif (Conseil d'Etat), il remplit sa mission en toute indépendance, réunissant toutes les instances chargées de rendre la justice à Genève. (AFEPJ) depuis 2019.

Mme Nathalie Deschamps est titulaire d'un CFC d'employé de commerce. Elle a débuté sa carrière auprès de l'Administration fiscale cantonale en tant que taxatrice immobilière durant quatre ans durant. Après quatre autres années en tant que secrétaire au Collège Calvin, elle a été engagée par un établissement médico-social, en tant que secrétaire comptable, avant de rejoindre le Pouvoir judiciaireLe Pouvoir judiciaire est l’un des trois pouvoirs de l’Etat. Séparé des pouvoirs législatif (Grand Conseil) et exécutif (Conseil d'Etat), il remplit sa mission en toute indépendance, réunissant toutes les instances chargées de rendre la justice à Genève., le 1er octobre 1995. Promue après deux ans en qualité de greffièreCollaboratrice ou collaborateur du greffe chargé·e d'assister les magistrat·e·s dans leur mission. Elle ou il dresse et authentifie les actes de la procédure tout au long de son déroulement. Elle ou il enregistre les affaires, prévient les parties des dates d’audience et de clôture, dresse les procès-verbaux, rédige des actes, met en forme les décisions et assiste la ou le juge lors des audiences. auprès de la Cour de justice, elle a œuvré durant dix-neuf ans pour la Cour civile avant de poursuivre sa carrière au sein de la Cour de droit public depuis 2015.

Elle est également membre de l'Association des fonctionnaires et employés du Pouvoir judiciaire (AFEPJ).

M. Patrick Becker est titulaire d'un Master en droit de l'Université de Fribourg, qu'il a obtenue en 1998, ainsi que d'un CAS conféré en 2010 par l'Institut de hautes études en administration publique (IDHEAP). Entré au Pouvoir judiciaireLe Pouvoir judiciaire est l’un des trois pouvoirs de l’Etat. Séparé des pouvoirs législatif (Grand Conseil) et exécutif (Conseil d'Etat), il remplit sa mission en toute indépendance, réunissant toutes les instances chargées de rendre la justice à Genève. comme greffier-juristePersonne qui assiste la ou le juge dans ses activités juridiques et judiciaires. Elle rédige notamment des projets de jugements et effectue des recherches juridiques. vacataire de l'ancienne juridiction des prud'hommes, il a successivement occupé les fonctions de greffier-juristePersonne qui assiste la ou le juge dans ses activités juridiques et judiciaires. Elle rédige notamment des projets de jugements et effectue des recherches juridiques., de directeur adjoint puis de directeur de la juridiction. Il a rejoint le secrétariat général du Pouvoir judiciaire en 2008, comme secrétaire adjoint en charge des relations avec les médias et les institutions puis, dès décembre 2009, comme secrétaire général adjoint. Il a été nommé secrétaire général du Pouvoir judiciaire avec effet en janvier 2011 par la Commission de gestion du Pouvoir judiciaire, sur préavis de la Conférence des présidents de juridiction.